Les services Liferay sont générés via le Service Builder à partir du fichier src/webapps/WEB-INF/service.xml (par défaut) via Maven :

mvn liferay:build-service

Mais une fois que notre panoplie de fichiers est générée, il est difficle de renommer notre package ou le nom de la table SQL par exemple. En effet, le Service Builder va regénérer tout un tas de fichiers, mais il va aussi compléter certains fichiers en gardant les anciennes références plus les nouvelles, ce qui va causer un petit soucis lors du déploiement :(

Voici les fichiers à manuellement corriger (Supprimer les références incorrectes à l'intérieur après la génération du service renomé)

• src/main/webapp/WEB-INF/sql/tables.sql 
• src/main/webapp/WEB-INF/sql/indexes.sql
• src/main/webapp/WEB-INF/sql/indexes.properties
• src/main/resources/META-INF/portlet-spring.xml
• src/main/resources/META-INF/portlet-orm.xml
• src/main/resources/META-INF/portlet-hbm.xml
• src/main/resources/META-INF/portlet-model-hints.xml

Dernier petit point pour la collaboration à plusieurs sur git, le build.number dans src/main/resources/service.properties peut aussi détraquer l'application si on essaye de déployer un build.number inférieur à celui déjà installé sur Liferay ! Auquel cas, un petit coup de nettoyage SQL s'impose :

delete FROM servicecomponent where data_ like "%NOM_DE_L'ANCIEN_SERVICE%"

Un petit lien sympa pour ceux qui conaissent pas Packt. Sur ce même lien chaque jour un nouvel ebook 100% gratuit à télécharger (PDF, ePub, Mobi & sources en général).

C'est assez rapide et ne demande qu'une inscription sur le site, vos ebook sont aussi sauvegardés sur votre compte pour les récupérer plus tard ! Ils sont en anglais, coûtent en général entre 15 et 40€ en temps normal, et traitent plein de sujets divers et variés !

https://www.packtpub.com/packt/offers/free-learning

Bonne lecture :)

J'ai récement eu à utiliser un cryptage intégral sous ubuntu avec dm-crypt et LUKS.

Comme une nouille, j'ai foiré ma premiere passphrase super longue n'ayant pas utilisé le num-lock (oui, ça arrive), alors même si j'ai pu utiliser cette clé batarde, j'ai un peu fouiné pour savoir comment rendre ca un peu plus propre sans tout reinstaller !

Par défaut, le système peut contenir plusieurs clés actives, et on peu en ajouter/supprimer si besoin.

Pour ajouter une nouvelle passphrase 

sudo cryptsetup luksAddKey /dev/HARDDISK

Pour supprimer une passphrases existante

(ATTENTION, uniquement si vous avez plusieurs clés et qu'au moins une est vérifiée !! Sinon, c'est mort ! )

sudo cryptsetup luksDelKey /dev/HARDDISK

Bien sur, il faut remplacer /dev/HARDDISK par le disque en question.

Voilà voila :)

Source et plus d'infos sur le sujet

En prenant de l'age et à force de mettre/enlever la carte SD, le slot en plastique a fini par lacher : les petites goutieres en plastiques on pété, ne maintenant plus la carte SD en pression suffisante pour la connexion :(

Après avoir laissé au placard la bestiolle, remplacée depuis par un RPI2, j'ai décidé de m'amuser à essayer une réparation, et le top c'est que ça marche :D

Durée de l'opération : 30 mins

Cout : < 3€ (eBay)

1) Dépose de l'ancien socket SD

J'ai été un peu bourrin mais j'ai tout bêtement utilisé une pane à souder plate et un peu de tresse à déssouder. Après avoir retiré soigneusement le plus de soudure possible, j'ai commencé à soulever le port SD avec un tournevis plat très fin. En théorie vous pouvez retirer le slot sans accroc mais j'ai eu un peu de mal, donc certaines pattes du socket sont restées soudées et j'ai du les retirer ensuite avec un peu de tresse. Comme vous pouvez le voir, je me suis bien acharné sur la bête, et y'a quelques griffures, mais rien de méchant.

2) Pose du socket tout neuf

Il suffit d'aligner au mieux les pattes aux pastilles sur le PCB et d'attaquer la soudure. Il y a deux parties un peu marrantes ici : la connexion de la masse faite par le boitier métallique du socket et non par une patte dédiée, et la soudure des deux derniers pins qui sont très rapprochés, qui servent à détecter ou non la présence d'une SD dans le socket. Vous remarquerez la propreté de mes soudures ;)

3) Enjoy

Après que tout ait bien refroidi, y'a plus qu'à tester un boot :) Je vous rassure, dans mon cas, tout est niquel et je peux maintenant réutiliser mon petit RPI pour mes projets !

Si vous faites des petits projets électroniques à tendance analogique, on trouve pour pas cher (attention aux clones) des kits d'oscillos à monter tout seul.

J'ai tenté le coup avec le Jyetech DSO138

Le pack contient l'intégralité des composants requis, les boards pré-perçées et les composants CMS sont pré-soudés (il existe aussi une version avec les CMS à souder aussi).

Quelques specs tirés du site officiel:

• Bande passante: 0 - 200KHz
• Echantillonage: 1Msps max
• Sensibilité: 10mV/Div - 5V/Div
• Erreur de sensi': < 5%
• Resolution verticale: 12-bit
• Base de temps: 10us/Div - 500s/Div
• Nombre d'échantillons: 1024 points
• Signal de test 1KHz/3.3V
• Mise en pause du waveform avec sauvegarde/restore
• Mise à jour du firmware par USB

L'assemblage est relativement simple pour quelqu'un qui sait déjà souder des composants et dispose de quelques outils (fer à souder, étain de qualité, tresse à dessouder). Rassurez-vous, même si vous n'avez jamais touché à tout ça, c'est faisable ! Faut juste être patient et minutieux, la partie la plus complexe étant la soudure du port mini-USB.

Sans plus attendre, des photos du montage (et oui, j'ai des soudures dégueulasses !)